samedi 2 février 2008

PERSECUTION JURIDIQUE DEPUIS 24 ANS

Pour contrarier tous les événements et placements courageux,
VOLES ET VIOLENTES DEPUIS + DE 24 ANS PAR LES DIPLOMES TERRORISTES
A cause des faux au Tribunal de Grande Instance de PARIS, mes 4 enfants et moi-même avons dû vivre avec mon maigre salaire, 152 E/mois/personne, sans droits sociaux, mal logés sur notre voilier durant 2 ans 1/2, sans nouvelles de M. G. qui nous a tous abandonnés le 7 février 1984, lendemain d'un homicide qu'il a créé sur la route et dont il ne nous a jamais parlé ! La lutte contre le mensonge et le vol professionnels nous ont privés d'études et mis en danger en désorientant les enfants, en les inscrivant chez leur père alors que les propres écrits de M. G. ont toujours prouvé, au fur et à mesure, qu'ils habitaient chez moi. De plus, les avoués et les juges insistent encore pour m'anéantir en 2008 !
Après les 1.524 E payés à Mme C., avocate, les frais et émoluments de Mme B., avouée, identiques sans s'être chargée de la rédaction des conclusions, ont été calculés sur 193.440 E suite à l'arrêt illégal du 6 janvier 2000 rendu par Mme K., juge, qui me refuse l'attribution des biens évalués malgré l'absence totale de conclusions présentées par M. G., mon ex-mari ! De même, le pourvoi en cassation est aberrant : rédigé et déposé à mon insu par M. B., avocat, il est établi sur "un total de 6.744,00 E" de pension alimentaire sans intérêts ni indexation depuis 1990 ! J'ai demandé :
1) à quoi correspond : "la partie du litige non évaluable en argent : 115.541.11 E" ?
2) la vente de l'appartement de ma communauté avant de payer 1.378,76 E de solde des frais et émoluments d'avouée puisque Mme B. avait reçu 576,85 E pour simplement adresser au Tribunal les conclusions de Mme C.. De plus, Mme B. avait séquestré mon dossier de juillet 1996 à novembre 1999... et elle l'a encore séquestré deux ans après l'arrêt du 6 janvier 2000 afin de m'obliger à payer 103 E de frais de dernier jour...
Je n'ai jamais reçu de réponse. De plus, suite à ma pétition du 4 mars 2003 "... chacun a droit au fruit de son travail pour élever ses propres enfants, n'est-ce pas ? mais 13 juges du TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS ont été payés par vos impôts et les miens depuis le 23 mai 1985 pour me priver encore de tout ce que j'ai gagné de 1965 à 1984 ! Je fais appel à votre droiture pour que les commissaires-priseurs ne m'enlèvent pas mes meubles pour payer le solde des émoluments de l'avouée ..." La présence d'une fillette de 2 ans a fait repartir huit hommes avec 3.000 E le 11 mars 2003 dont ils me doivent encore le décompte et le solde certainement.
Ma plainte restant en suspens, le président de la 8e chambre section B de la Cour d'Appel m'avait écrit "le 4 juillet 2003 : l'affaire a fait l'objet, le 23 avril 2003, d'une radiation du rôle ce qui veut dire qu'elle ne peut être jugée." Mais c'était pour établir un autre arrêt à mon insu le 18 septembre 2003 sans conclusions pour moi évidemment et me faire payer cet arrêt proportionnellement à l'intégralité de l'évaluation de mes biens pour Mme B., "mon" avouée d'origine, pour l'avouée de Mme B. et pour l'avouée nommée par le Tribunal pour moi sans qu'aucune n'ait jamais rédigé la moindre explication !
Pour ne pas avoir payé immédiatement et sans discussion Mme B., juges et huissiers m'ont ponctionné 4.324,90 E au lieu de 1.378,76 E ! Il y a certainement matière à réformer le métier d'avoué. Par combien doit-on multiplier ce qui m'est dû depuis 21 ans ainsi qu'à mes 4 enfants ?
Par ailleurs, mes ressources justifient l'Aide Juridictionnelle totale puisqu'elle m'a été accordée pour le pourvoi en Cassation et que ma demande n'était pas dénuée de fondement puisque le prix du catamaran a été augmenté par la juge : 55.644 E en 1996 et 62.504 E dans l'arrêt du 6 janvier 2000, correspondant au prix auquel il était assuré en 1985, extrêmement différent de son prix de vente déclaré par M. G. !
Comme il le reconnait par une lettre à notre fille Nelly, M. G. aurait dû aller en prison pour organisation frauduleuse d'insolvabilité en 1990 pour refus de payer la pension alimentaire obtenue en octobre 1989 puisqu'il dispose du fruit intégral de la vente de notre bateau depuis le 6 mai 1987 : au contraire, la corruption du tribunal lui donne de profiter depuis 24 ans de la totalité de notre patrimoine ! M. G. a refusé de vendre notre appartement par lettre du 26 décembre 1992 à MM. B. et A., notaires nommés par le Tribunal qui, de surcroît, m'ont fait payer leur procès-verbal de son défaut de comparution : 381,12 E (+ 60,98 E d'assignation) !
Tous m'ont empêchée d'utiliser notre appartement pour garantir mon loyer à Paris, le notaire toulousain m'envoie la totalité de son prix de vente le 15 octobre 2005 : 27.604,41 E alors que les appartements identiques, dans le même immeuble, étaient vendus 53.000 E en 1984 !
Sauf erreur, il me semble flagrant que LES JUSTICIERS, qui ont empêché M. G. de conclure, me doivent sur l'arrêt du 6 janvier 2000 : 185.170 E + les dommages et intérêts dus aux traumatismes subis. De plus, les conclusions rédigées par Mme C. doivent être complétées comme elle me l'a écrit en 1998 et le dossier pénal enfin réalisé depuis le 6 mai 1987 où M. G. a vendu notre bateau à mon insu, neuf mois avant la première Cour d'Appel en date du 24 février 1988, avec l'aide de M. GO, voisin et gérant les loyers de stationnement au Port des Champs Elysées, qui était mon premier avocat et m'a seulement écrit le 27 mars 1992 pour m'informer de cette vente "... L'avocat qui me succèdera saura tirer tous avantages de cet élément..." ! Seule Mme C. l'a réalisé en 1998 mais la juge en a profité pour me voler infiniment + lors de son jugement illégal !
Le 22 novembre 2005, la Cour de Cassation a inventé la déchéance du pourvoi (illégal) pour défaut d'adresse ! Chez C. L. Les Petits Bions 18380 IVOY LE PRE.
R. G. n'habite plus chez C. L. car ils ont divorcé mais le Trésor Public connaît bien sa nouvelle adresse puisqu'il le paie depuis 1983 ! Les Pillets 18220 AZY.
Evidemment, l'argent volé par les faux jugements, l'avouée et les huissiers, ce n'est que le sommet de l'iceberg : c'est infiniment plus grave d'avoir désorienté quatre innocents, de les avoir appris à mentir, de les avoir « montés » contre leur mère et fait ignorer par leur père quand ils avaient 10, 13, 15 et 16 ans, de persévérer à troubler leurs esprits et de tenter encore de me détruire en empêchant la réalisation de toutes les lois depuis 24 ans dans « un divorce complètement immoral » :
en occultant tous les écrits de leur père : « J'ai tous les torts » « Elle ne voulait pas que ses enfants soient malheureux comme elle » « J'ai beaucoup d'estime pour toi »...
en se servant de ma lettre contre moi « le bateau te rapporte-t-il le SMIG que tu devais m'assurer en 1981 »...
en occultant l'ordonnance de non-conciliation qui m'attribue la jouissance du bateau !
en occultant la vente de notre maison de campagne et l'achat du bateau uniquement au nom de M. G...
Tout révèle que j'ai été exploitée 19 ans par R. G. et sa famille à cause de ma mère qui m'a toujours obligée à être leur domestique gratuite, même après que le père de R. G. ait tenté de me tuer en me frappant violemment la tête avec un lave-pont, en juin 1971, sans aucun égard pour les trois enfants de son fils ! Le médecin qui a recousu mon cuir chevelu a suggéré de porter plainte mais R. n'a jamais voulu choisir entre son père et sa femme. Ainsi je n'ai jamais eu d'autre solution que de pardonner et de travailler sans salaire !
A l'âge de huit ans, je suis allée à la messe pour la première fois et j'ai mis en pratique ce que j'y ai entendu, ainsi une famille au ciel m'a toujours permis de dire mes droits à chaque adversaire sur terre puis de pardonner sa méchanceté, il est évident que la connaissance des Dix Commandements a toujours été mon unique possibilité d'existence. L'enquête sociale d'octobre 1985, ayant eu lieu sur le voilier qui a été mon unique logement à PARIS de septembre 1983 à mars 1986, marque : « ésotérique, confite de bondieuseries, ne manquant jamais sa messe » : C'est de la diffamation.
Ma plus jeune enfant m'a particulièrement surprise quand elle m'a dit inopinément, le 10 juin 2002 : « Tu ne savais pas que bon-papa n'était pas ton père ? » C'est ma cadette, en colère contre ma mère, qui avait fait une enquête quelques jours auparavant et avait découvert que je ne suis pas la fille d'E. D. mais celle de M. F. Le 21février 2004, accompagnée d'un couple ami, je suis allée visiter la belle-fille de M. F. qui m'a dit : « Vous avez du sang F. » R. F., le fils de M. F., a signé mon acte de naissance en tant que maire du village, ainsi les faux en écritures officielles sapent mon existence depuis 62 ans !
Qui veut que notre histoire soit enfin rédigée et les lois appliquées ? C'est L'Etat qui doit payer puisqu'Il est responsable.
Recherche un écrivain pour rédiger l'histoire d'une mère de famille à la réussite sociale, matérielle et familiale exceptionnelle, ruinée par 24 ans de faux en écritures officielles contre elle-même et ses 4 enfants, mais dont sa foi la soutient dans la certitude que justice sera rendue. (écrit par le fils du couple)
Eventuellement, chaque sujet peut être traité par une personne différente. Merci d'y réfléchir et de m'en parler...
J. de Dieu 33 rue Compans 75019 PARIS 01.42.40.61.44 – 06.75.14.78.78